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Syndicatho

Syndicatho est un syndicat interprofessionnel dont l’objet est l’étude et la défense des droits et des intérêts matériels et moraux, tant collectifs qu’individuels, de ses membres. Il propose donc à ses adhérents des pistes correspondant à cet objet pour résoudre l’essentiel des problèmes auxquels les salariés sont confrontés :
– problèmes largement répandus : chômage, salaires nets insuffisants, trajets trop souvent longs et pénibles entre le domicile et le lieu de travail, etc.) ;
– problèmes moins largement répandus : relations sociales conflictuelles, manque d’intérêt pour le poste occupé, compétences sous-utilisées ou non reconnues, surcharge de travail et stress, etc.

Syndicatho s’appuie sur les valeurs de la République (liberté, égalité en droits, fraternité) et, comme la CFTC, sur la Doctrine Sociale de l’Église (catholique), alias DSÉ, elle même élaborée à partir de l’Évangile, pour défendre les intérêts de ses membres et, bien au-delà, de l’ensemble des salariés (y compris les futurs salariés et ceux qui l’ont été).

 Nous croyons que cette doctrine est un trésor, hélas méconnu, qui éclaire les valeurs de la République. Son principe de base est : “Un immense et inconditionnel respect est dû à toute personne humaine, à sa vie, sa liberté, sa propriété.”

Syndicatho vise à faire connaître dans le monde du travail cette doctrine, dont l’application permettrait, pense-t-il, de résoudre l’essentiel des problèmes auxquels les salariés, mais aussi, plus largement, l’ensemble de la population française (et même mondiale !), sont confrontés.

Syndicatho s’adresse à tous les “hommes de bonne volonté”, quelles que soient leurs convictions religieuses. Syndicatho ne fait aucun prosélytisme religieux. Il respecte la liberté religieuse. Son appellation rappelle simplement l’origine de la doctrine à laquelle il se réfère.

Nous disons aussi – notamment à ceux qui ne souhaitent pas entendre parler de DSÉ ou d’Évangile – que Syndicatho s’appuie sur la “doctrine républicaine”, si celle ci peut être caractérisée par les valeurs de liberté, d’égalité (en droit) et de fraternité.

L’adhésion à Syndicatho est libre (c’est à dire que quiconque peut y adhérer), parce que c’est la loi, mais surtout car cela est conforme à la Doctrine Sociale de l’Église (cf., notamment, le principe personnaliste, le principe de la destination universelle des biens et le principe de subsidiarité) ! Le montant de la cotisation annuelle, lui aussi, est entièrement libre : on peut adhérer à Syndicatho en versant 0 euro … ou plus (dans ce dernier cas, un reçu fiscal est délivré à partir de 10 €) ! Il est aussi possible, notamment pour les non-adhérents, de faire un don (reçu fiscal à partir de 10 €).

Syndicatho veut être un syndicat pauvre, aux moyens financiers très modestes, pour témoigner que ses dirigeants, bénévoles, ne cherchent pas leur intérêt personnel mais seulement le “bien commun“.

Une des caractéristiques de Syndicatho, c’est d’essayer de mettre en cohérence ses idées, ses discours et ses actions. Notre syndicat veut convaincre par son exemplarité et celle de ses adhérents tout autant que par les messages qu’il délivre. Comme disait Gandhi, “Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde !” Nous n’avons pas la prétention d’y parvenir à tout coup : l’esprit est ardent, mais la chair est faible…

Nous aimerions que Syndicatho, grâce à ses adhérents et représentants, soit reconnu un jour comme le syndicat de la bienveillance, du plus profond et inconditionnel respect à l’égard de toute personne humaine (par exemple : salariés, dirigeants, actionnaires, fournisseurs, clients,…) Et certainement pas comme un syndicat prétentieux et donneur de leçons !

La DSÉ, c’est comme la clé du Paradis (ou du bonheur) !

Nous pourrions comparer la DSÉ à une clé : celle du Paradis, autrement dit, du bonheur, censée être détenue par saint Pierre. Utiliser cette clé donne accès au bonheur, car elle permet de prendre des décisions qui comblent nos besoins. Nous parlons ici de décisions individuelles (par exemple, dans le cadre de notre communication interpersonnelle, ou dans celui de la gestion de notre santé) et de décisions collectives. Dans ce dernier cas, ladite clé permet à chaque citoyen d’avoir une claire vision de ce qu’il doit attendre des dirigeants politiques amenés à prendre les décisions collectives précitées.

La DSÉ, une sorte de lampe d’Aladin

Nous pourrions également comparer la DSÉ à une lampe d’Aladin fournissant une lumière géniale : une lumière si intense, si perçante, qu’elle illumine  et permet de décrypter les situations et évènements sociaux les plus compliqués.

Avec une telle lumière, tout paraît évident, simple à analyser, et chacun peut détecter ce qui “cloche”, ce qu’il faut changer pour transformer le mal en bien, pour rendre favorable un évènement ou une situation qui ne l’était pas, pour optimiser la façon dont tel ou tel problème social est traité. Ainsi, tout citoyen pourra, par exemple, connaître le meilleur moyen de faire disparaître le chômage, de faire face efficacement au Covid ou de transformer un de ses ennemis en ami.

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